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Historique du Dollar Bahamien

Du Livre Bahaméen au Dollar Bahaméen
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En 1966, le dollar a prend la place de la livre bahaméenne (ou le pound en Bahamian) avec un taux de change de 1 dollar pour 7 shillings, conformément à la valeur du dollar américain de l'époque. Ce qui expliquer l'individualité de cette monnaie par la présence d'une pièce atypique de 15 cents dans cette monnaie.

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Histoire du Dollar Australien

Différents noms ont été proposés en 1965 par le Premier ministre australien de l'époque Mr. Robert Menzies pour la nouvelle monnaie qui été en préparation : The Royal, The Austral, The Oz, The Boomer, The Roo, The Kanga, The Emu, The Digger, The Kwid et Ming (le surnom du Premier ministre). 
Dollar Australie
The Royal était le nom favori de Robert Menzies et plusieurs graphismes furent élaborés et fabriqués par l'imprimerie de la Reserve Bank of Australia. Mais le nom singulier de la monnaie n'était pas populaire auprès des Australiens.
Finalement, le 14 février 1966, la livre australienne est remplacée par le dollar australien (AUD) et le système décimal est introduit avec l'apparition du cent qui équivaut au centième du dollar. La livre australienne vaut alors deux dollars australiens.


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Histoire Sous l'Ancien Régime

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Le 5 décembre 1360, les premiers francs sont frappés à Compiègne, pour aider à payer la rançon du roi Jean II de France (capturé par les Anglais le 19 septembre 1356 à la bataille de Poitiers). Dénommé le franc à cheval, il s'agit en fait d'un écu tiré à 3 millions d'exemplaires, pesant 3,87 grammes d'or fin et valant une livre tournois ou 20 sols. Le roi y est représenté sur un destrier, armé d'un écu à fleur de lys et brandissant l'épée, avec le terme « Francorum Rex » (Roi des Francs). Bien que le mot « franc » signifie « libre », il est plus probable que le nom de la monnaie vienne tout simplement de cette inscription.
En 1385, le franc est frappé à l'image du nouveau roi Charles VI. Sur une pièce de 3,06 grammes d'or, le monarque est représenté à pied. Cette pièce est appelée le franc à pied.
En 1575, le roi Henri III fait frapper un franc d'argent de 14,18 grammes à 833/1000 valant 20 sols et quatre deniers, soit une valeur légèrement supérieure à la livre tournois. En même temps, on frappe des subdivisions du franc : le demi-franc et le quart de franc. Il crée aussi un écu d'or valant 3 livres tournois en tant qu'unité monétaire de compte.
Le roi Henri IV émet, en 1586, une déclaration interdisant la frappe des francs. Seules les subdivisions peuvent continuer à être frappées. Cette décision est prise car les pièces sont souvent grattées pour récupérer un peu d'argent.
Le roi Louis XIII fait émettre des demi-francs et quart de francs respectivement de 7,094 g et 3,547 g d'argent à 833/1000. Louis XIII décide de réformer le système monétaire en 1640 et le 23 décembre 1641, le roi fait frapper une belle pièce d'or à laquelle il donne son prénom : le louis d'or. Le louis d'argent qui en découle est appelé écu; le franc devient alors une monnaie désuète. Cependant, le terme « franc » reste vivace dans les esprits ; Molière, Boileau dans leurs œuvres emploient le mot « franc » pour « livre », ainsi que Madame de Sévigné dans les lettres à sa fille.

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Dollar...Histoire de la devise

Le mot « dollar » est une dérive phonétique du mot allemand « thaler » (on trouve le terme tolar en Slovénie). Le thaler était une monnaie d'argent qui, depuis son lieu de production initial à Saint Joachim en BohêmeRépublique tchèque)
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(aujourd'hui , où une mine fut découverte à la fin du XVe siècle, se répandit d'abord dans toute l'Europe centrale germanophone puis dans tout l'Occident, du fait du grand besoin de numéraire au XVIe siècle, époque où les métaux précieux étaient devenus très rares en Europe. Cette pièce d'argent, et ses nombreuses copies nationales, devint ainsi dès la fin du XVIe siècle, la monnaie d'échanges commerciaux par excellence. C'est ce qui explique que lorsque l'Espagne colonisa l'actuel Mexique et une partie de l'Amérique du Sud et mis la main sur ses immenses richesses minières, au XVIIe siècle, elle continua de frapper cette monnaie universellement reconnue et appréciée. La base du système monétaire espagnol étant le réal (depuis le XIVe siècle), furent donc frappées des pièces d'1 real et d'énormes quantités de pièces à valeur plus élevée de 2, 4 et surtout de 8 reals, la très fameuse « pièce de huit » ou « real de a ocho », ou plus tard « peso de plata » ou « piastre ». L'Espagne par le biais de ses colonies devint rapidement le monnayeur du monde, ancien et nouveau, aussi bien en monnaie d'argent (pièces de huit et sous-multiples) qu'en monnaie d'or (escudo ou de deux pièces de huit, et surtout du doublon valant 8 escudos soit 16 pièces de 8 ). la fin du XVIIe siècle, le stock de pièces en métal précieux fut multiplié par huit dans le monde et les monnaies hispaniques étaient massivement absorbées aux Indes, en Chine, et en Afrique avec le développement fulgurant du commerce lointain par les Compagnies des Indes orientales créées aussi bien par les Pays-Bas que par l'Angleterre ou la France.[réf. nécessaire]
Relief de l'hôtel de ville de Séville portant la devise de Charles Quint « Plus Ultra » associée aux Colonnes d'Hercule.
Un « Pillar dollar » de 1757
Cette pièce d'argent de huit réaux portait à l'avers les armoiries de l'Espagne (jusqu'en 1740) puis, par la suite, l'effigie du souverain régnant. Le revers arborait un graphisme caractéristique: deux colonnes couronnées encadrant une image variable (deux planisphères, représentant l'Ancien et le Nouveau Monde, surmontées d'une couronne royale, jusqu'en 1771, puis, ensuite, les armoiries de l'Espagne). Les deux colonnes figuraient les anciennes Colonnes d'Hercule qui, dans l'Antiquité, symbolisaient le passage de mare nostrum vers l'inconnu atlantique. Chacune des colonnes est entourée d'une banderole en forme de « S » où on lit « PLUS » sur l'une et « ULTRA » sur l'autre (« Au-delà ») pour montrer que eux, les Espagnols, avaient pu franchir ces colonnes du « nec plus ultra » (ou « rien au-delà »), et avaient conquis le nouveau monde. Pour l'Espagne, première puissance coloniale et du monde d'alors, ces deux colonnes ouvraient sur l'empire espagnol qui s'étendait sur les deux mondes (les deux planisphères).
C'est ce graphisme caractéristique qui va frapper les esprits, non seulement en Europe, dans l'Empire ottoman, et l'Asie, mais bientôt l'Amérique, hispanique d'abord, du nord ensuite, puisqu'il constituait la signature, en quelque sorte, des monnaies les plus répandues pour les échanges commerciaux à-travers le monde. Les colonnes et leur banderole en S, étaient le graphisme constant, caractéristique et marquant dans l'esprit des commerçants à-travers le temps et le monde de la pièce de huit, de la piastre, l'effigie de l'avers changeant, au contraire, avec le monarque espagnol régnant. Ceci est tellement vrai que ce graphisme perdura sur certaines pièces espagnoles jusqu'à nos jours.
C'est ce graphisme caractéristique de l'avers des piastres qui va être à l'origine du symbole actuel du dollar américain, qui joue dans notre monde contemporain le rôle que joua la pièce espagnole, du XVIe au XVIIIe siècle.
Le symbole du dollar américain (qui se représentait avec deux barres verticales jusqu'à une époque très récente) est une notation « iconique » de la pièce de huit où on retrouve, simplifiées et stylisées pour être facilement écrites à la plume, les deux Colonnes d'Hercule (devenues les deux barres du « $ ») et le bandeau d'entourage de chaque colonne, en forme de « S ». Le symbole du dollar américain dérive directement du revers de la pièce de huit reals et ces deux piliers sont tellement essentiels à ce symbole que les pièces de huit fabriquées aux Amériques furent souvent désignées par le terme « Pillar dollars », les colonnes d'Hercule étant ainsi décrites outre-Atlantique : « crowned pillar of Hercules ». Lorsque les colonnes d'Hercule s'ouvraient sur les vagues de l'océan, comme sur certaines pièces frappées à Potosi, ces dollars étaient alors nommés "pillar waves". Il est intéressant de noter d'ailleurs que le successeur mexicain de la pièce de huit n'utilise qu'une colonne, le « S » banderole de cette colonne n'étant donc barré qu'une fois pour désigner le peso.
Cette dérive graphique entre le revers de la pièce de huit espagnole et le symbole du dollar américain est l'équivalent graphique de la dérive phonétique entre thaler et dollar. Elle est surtout du même ordre que la dérive graphique que nous avons observée à notre époque contemporaine entre le mot anglais « at » et l'arobase utilisé sur Internet. L'arobase n'est en effet qu'une dérive graphique simple du raccourci graphique « at » utilisé autrefois (du temps de l'écriture à la plume) sur de nombreux courriers britanniques (pour indiquer un destinataire) où la lettre t avait une propension à s'enrouler autour du a. Dans l'arobase moderne, le a subsiste intact mais le t en l'entourant n'est plus reconnaissable. Un autre exemple de raccourci graphique de ce type peut être donné par le & (esperluette) qui remplace le mot « et ».
Il existe d'autres explications à l'usage du « S » doublement barré comme symbole de la monnaie des États-Unis :
  • Pour certains numismates : la pièce espagnole de 8 réaux (« piece of eight ») a eu cours légal aux États-Unis jusqu'en 1857. Le signe « $ » serait la représentation du 8. Nous ferons simplement remarquer qu'il n'est pas plus difficile de dessiner, de graver ou d'imprimer un « 8 » qu'un « S », et, surtout, que le « $ » est toujours, actuellement, le sigle du peso mexicain et d'autres monnaies d'Amérique latine.
  • D'après une autre hypothèse, le symbole « $ » viendrait de l'abréviation « US » pour « United States », les deux lettres étant superposées. Le « U » a fini par être remplacé par deux barres pour des raisons de contraintes typographiques. Cette explication souffre la même critique quant à l'adoption du sigle « $ » par le Mexique pour sa monnaie nationale, le Peso.
Le premier dollar nord-américain a été imprimé en 1690 par la colonie du Massachusetts, mais son aspect était très différent de celui d'aujourd'hui et aurait inspiré les assignats révolutionnaires. Quand les États-Unis acquirent leur indépendance, ils prirent pour monnaie le dollar. Depuis, leurs puissances économique et financière ont contribué à la propagation du nom dans d'autres régions du monde.

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Histoire du Dollar Américain

Le premier dollar apparut sous forme de papier-monnaie en 1690 dans la colonie du Massachusetts. La couleur de ce billet est du au fait qu'il était impossible de copier cette couleur à cette époque.
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XVIIIe siècle
Le dollar a été adopté par le Congrès de la Confédération le 6 juillet 1785

XIXe siècle

La maxime « In God We Trust » ( «  En Dieu nous croyons » ou « Nous avons confiance en Dieu ») apparut en 1864 sur la pièce de 2 cents. Approuvée en 1955 par un acte du Congrès, elle est depuis systématiquement imprimée sur tous les billets américains.

Début du XXe siècle

1944-1971 : le Gold Exchange Standard

Le système monétaire mondial dit du Gold Exchange Standard (étalon de change or) a été mis en place par les accords de Gênes en 1922 jusqu'en 1933 (Roosevelt décide de suspendre la convertibilité du dollar en or pour le dévaluer) puis par les accords de Bretton Woods en 1944 et donne une place prépondérante au dollar. Il repose sur deux piliers principaux :
  • un système de changes fixes entre monnaies (avec de très faibles marges de fluctuations)
  • la reconnaissance du dollar comme monnaie de réserve internationale (as good as gold), qui reste convertible en or, mais seulement dans le cadre des échanges entre banques centrales.
Si le système fonctionne correctement dans les années 1950, l’accumulation dans les années 1960 des déficits américains encore accrus par les dépenses afférentes à la guerre du Viêt Nam entraînait au tout début de la décennie 1970 de très fortes pressions sur la monnaie américaine. Or sa fonction de monnaie de réserve mondiale gênait fort peu les États-Unis et ne les incitait pas à mieux contrôler leurs déficits.

1971-1973 : période de transition

C’est le 15 août 1971 que le président Richard Nixon décide l’inconvertibilité du dollar par rapport à l’or, suite aux tensions permanentes sur cette monnaie. Cette décision est prise sans consulter les partenaires (autres pays occidentaux et Japon). Elle s'explique par le danger sérieux et croissant que les autres pays exigent la conversion en or de leurs excédents de dollars, puisque le dollar était convertible en or, tout au moins dans les échanges entre banques centrales.
Avec ce « diktat » américain le système de Bretton Woods entrait en agonie, puisque la valeur de chacune des monnaies y était déterminée par référence à un poids d'or. Les pressions sur le dollar ne pouvaient qu’empirer, ce qui se produisit.
Plusieurs réunions eurent lieu pour s’accorder sur une dévaluation de la devise américaine et tenter un replâtrage du système. Elles débouchèrent sur les « accords de Washington », dits aussi « accords du Smithsonian Institute », conclus le 18 décembre 1971 par les ministres des finances et banquiers centraux du « Groupe des Dix » (la CEE, la Suède, les États-Unis, le Canada et le Japon) qui établirent des parités centrales et des marges de fluctuation de 2,25 %.
C'est de cette époque que date la formule attribuée au secrétaire américain au Trésor, John Connally : « The dollar is our currency and your problem » (« Le dollar est notre devise et votre problème »).
Le 13 février 1973, la faiblesse de la monnaie américaine conduisait à un réajustement des parités, le dollar étant dévalué de 10 %, mais cela se révéla immédiatement insuffisant.

Depuis 1973 : le régime des changes flottants

Reconstitution du taux de change euro-dollar de janvier 1972 à janvier 1999 à partir des taux de change du franc français (en rouge) ou du Deutsche mark (en bleu).
Le 19 mars 1973, le « Groupe des Dix » décidait l’abandon de la fixité des taux de change des diverses monnaies par rapport à l’étalon dollar, ce qui permettait aux banques centrales des autres pays de cesser d’acheter du dollar pour maintenir sa parité, selon les règles du jeu du système en vigueur. Un nouveau système monétaire international dit de « changes flottants » voyait donc le jour. Il est toujours en vigueur.
Les accords de la Jamaïque entérineront formellement cette situation le 8 janvier 1976.
De 1973 à 1979, le dollar continue sur sa lancée et se déprécie régulièrement et considérablement par rapport au Deutsche Mark, perdant près de 50 % de sa valeur (cf graphique ci-contre à gauche).
Évolution historique du taux au jour-le-jour (Fed Funds) du marché monétaire aux États-Unis
La violente remontée des taux d'intérêt décidée à la fin de 1979 par le nouveau gouverneur de la banque centrale américaine, Paul Volcker, pour combattre — avec succès — l'inflation, inverse la tendance. Le remède est sévère : pour une inflation de l'ordre de 9 % en taux annuel en 1980, les taux d'intérêt à court terme montent jusqu'à 19 %. Les taux d'intérêt réels atteignent des sommets sans précédent et, au prix d'une sévère récession, l'inflation disparaît : en 1983, elle n'est plus qu'à 3,2 % (cf graphique ci-contre à droite).
Ces taux d'intérêt réels provoquent un afflux de capitaux aux États-Unis, et le dollar s'apprécie pendant cinq ans, jusqu'à revenir, en mars 1985, à son niveau d'avant 1973, ce qui est manifestement exagéré.

Septembre 1985 : les accords du Plaza[modifier]

Article détaillé : Accords du Plaza.
À l'hôtel Plaza de New York, le 22 septembre 1985, les pays dits du G5 (c'est-à-dire ceux du G7 moins le Canada et l'Italie) s'entendent publiquement pour intervenir sur le marché des changes et organiser un repli du dollar. 10 milliards de dollars sont ainsi dépensés, avec un effet immédiat et spectaculaire. En à peine quinze mois, le dollar efface tous ses gains par rapport au Deutsche Mark et, fin 1986, il se retrouve à son plus bas niveau historique, celui de 1979.

Février 1987 : les accords du Louvre[modifier]

Article détaillé : Accords du Louvre.
Désireux de stopper la machine infernale qu'ils ont mise en route, les pays du G5, rejoints par le Canada, signent à Paris le 22 février 1987 les accords du Louvre, destinés à enrayer la baisse du dollar. Seulement, cette fois-ci, cela ne marche pas et, après une pause dans le courant de l'année 1987, le dollar va continuer pendant dix ans, tendanciellement, à se déprécier.

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Rôle économique du Dollar Américain

 En monnaie scripturale, le dollar est :
http://www.actumix.com/wp-content/uploads/2008/dc/dollar-5-lincoln.jpg
  • la principale monnaie de réserve utilisée dans le monde ;
  • la devise la plus utilisée dans le commerce international ;
  • la principale devise traitée sur le marché des changes, présente en 2004 dans 89 % des transactions, contre 37 % pour l'euro (source : BRI) ;
  • la devise possédant les marchés financiers les plus importants, même si cette prépondérance est en train d'être remise en cause par l'euro dans plusieurs domaines.
Selon le Fonds monétaire international, le dollar comptait à hauteur de 72 % en 2002 dans les réserves des banques centrales à travers le monde avant de décliner par la suite pour s’établir à 64 % de ces réserves mondiales en septembre 2007.
Enfin, certes pour des montants beaucoup moins importants, c'est une monnaie fiduciaire d'un usage très répandu dans le monde, et plus de la moitié de son encours en billets est en fait détenu hors de son pays d'origine.

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C'est quoi le biellet VERT?

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Le dollar des États-Unis ou dollar américain ou dollar US ou USD est la monnaie nationale des États-Unis et de ses territoires d'outre-mer (comme Porto Rico) ; c'est aussi celle de l'Équateur, du Zimbabwe, de la Micronésie, des Îles Marshall, des Palaos, du Panama, du Salvador, du Timor oriental, des Îles Turques-et-Caïques, des Îles Vierges britanniques et des Îles BES. Il est divisé en 100 cents.

Son code ISO 4217 est USD, avec le nom « dollar des États-Unis ». Le symbole du dollar des États-Unis est US$ ou simplement $ (caractère Unicode U+0024). Cependant ce dernier symbole est utilisé localement pour désigner d'autres monnaies nationales (par exemple le peso au Mexique)

Le dollar des États-Unis est la monnaie la plus utilisée au monde pour les transactions et, depuis décembre 2006, la deuxième derrière l'euro en termes de monnaie en circulation.

Forex et Analyse Technique

 L'analyse technique du Forex est l'étude de l'évolution des marchés, principalement par l'usage de graphiques du Forex dans le but de prévoir les futures tendances des prix. 

Retrouvez sur notre site des fiches de formation à l'analyse technique.
L'analyse technique aussi appelée analyse graphique est une technique d'intervention très populaire sur les marchés financiers.


Psychologie du Trading-Forex

Les facteurs fondamentaux et techniques sont incroyablement essentiels pour bien déterminer la dynamique de toutes les devises.
http://blog.cogito.tv/public/penseur.jpg
Il y a, cependant, deux facteurs additionnels qui sont primordiaux à comprendre concernant les mouvements à court terme sur le marché. Ce sont les prévisions et les sentiments. Ils peuvent être semblables, mais restent distincts. Les prévisions sont formées avant la publication des statistiques économiques et des données financières. Prêter seulement l'attention aux chiffres publiés ne suffit pas pour prévoir le futur cours d'une devise. Si, par exemple, le PIB des USA sortait à 7 % mais 5% dans le quart précédent, alors le dollar ne va pas forcément monter. Si les prévisions du marché s'étaient attendues à une croissance de 8%, alors la lecture 7 % pourrait venir comme une déception, de ce fait entraînant une réaction très différente du marché.
Néanmoins, les prévisions ont pu être remplacées par les sentiments du marché. C'est l'attitude régnante du marché vis-à-vis d'un taux de change; ce qui pourrait être un résultat de l'évaluation économique globale vers le pays en question, l'emphase générale du marché, ou d'autres facteurs exogènes. Prenons l'exemple ci-dessus sur le PIB des USA; même si le chiffre de 7 % est en dessous des prévisions, le marché peut ne pas
montrer de réaction. Une raison possible est que le sentiment pourrait être positif pour le dollar indépendamment des chiffres réels et prévus. Ceci pourrait être dû aux marchés des placements des USA, ou aux principes fondamentaux faibles dans la contre- devise (euro,Yens ou sterling). Un terme qui est généralement associé avec le "sentiment" est "psychologie". Pendant les deux premiers mois de 2000, l'euro a subi la pression de vente féroce contre le dollar en dépit d'améliorations constantes des principes fondamentaux dans l'Eurozone. C'est parce que la psychologie du marché avait décidément favorisé des capitaux vers les USA dus aux signes continus de la croissance non-inflationniste, et dus au sentiment que des
accroissements plus ultérieurs des taux d'intérêt des USA fonctionneront dans l'avantage des différentiels de rendement des USA, sans dérailler l'expansion économique.

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ANALYSE TECHNIQUE ET FONDAMENTALE DU FOREX

Une des discussions dominantes dans l'analyse de marché financier mondial est la fiabilité des deux grandes analyses: Fondamentale ou technique.
http://blog.ig-conseils.com/wp/wp-content/uploads/2008/06/expert-comptable.jpg
Dans le marché des changes, plusieurs études ont conclu que l'analyse fondamentale était plus efficace dans des tendances long terme (plus longtemps qu'un an), alors que l'analyse technique était plus appropriée pour des horizons plus courts (0-90 jours). Combiner les deux approches a été suggéré d'être plus adapté pendant des périodes entre 3 mois et un an. Néanmoins, davantage d'évidence indique que l'analyse technique de tendances long terme aide à identifier des vagues à plus long terme et que les facteurs fondamentaux déclenchent des développements à court terme. Mais, la plupart des commerçants respectent l’analyse technique parce qu'elle n'a pas besoin de beaucoup d’heures d'étude. Les analystes techniques peuvent suivre beaucoup de devises en même temps. Les analystes fondamentaux, cependant, tendent à se spécialiser en raison de la quantité accablante de données sur le marché. L'analyse technique fonctionne bien parce que le marché des changes tend à développer des tendances fortes. Une fois que l'analyse technique est maîtrisée, elle peut être appliquée avec la même facilité autant sur une période donnée que sur une devise.

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Forex: ANALYSE FONDAMENTALE

L'étude des différents facteurs spécifiques influant le forex tels que guerres, découvertes, et changements de politique de gouvernement, influencent directement ou indirectement sur l'offre et la demande, et sont donc par conséquence pris en considération par le marché financier.
http://www.mixiwi.info/wp-content/uploads/telephone_business.jpg
L'analyse fondamentale comporte l'examen des indicateurs macro-économiques, des marchés des placements et des considérations politiques en évaluant la devise d’un pays et en la comparant aux autres. Les indicateurs macro-économiques incluent des chiffres économiques telles que des taux de croissance; comme mesuré par le produit intérieur brut, les taux d'intérêt, l'inflation, le chômage, la masse monétaire, les réserves de devises étrangères et la productivité. Les marchés des placements comportent des bourses, des taux d’intérêts et des immobiliers. Les considérations politiques affectent le niveau de laconfiance dans le gouvernement d’une nation, le climat de stabilité et le niveau de certitude. Parfois, les gouvernements sont incommodés de la valeur de leur monnaie, et par conséquent, interviennent pour éviter que leur monnaie prennent un chemin peu désiré. Des interventions sur le marché des changes sont conduites par les banques centrales, quoi qu'ayant un impact provisoire sur le marché. Une banque centrale peut vendre/acheter unilatéralement sa devise contre une autre; ou engagez une intervention concertée dans laquelle elle collabore avec d'autres banques centrales pour un effet beaucoup plus prononcé. Alternativement, quelques pays peuvent parvenir à déplacer leurs devises, simplement en laissant entendre ou en menaçant d'intervenir.

ANALYSE TECHNIQUE DU Forex

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Il y a deux approches de base pour bien analyser le FOREX, l'analyse technique et l'analyse fondamentale. Alors que l'analyse technique étudie les mouvements des prix eux-mêmes l'analyse fondamentale se concentre sur les causes essentiels des mouvements des prix, .

Une analyse technique est ce qu'on emploie pour essayer de prévoir de futurs mouvements des prix, basée sur l’analyse de certaines périodes et sur la lecture/compréhension des graphiques. Dans une analyse technique, il existe plusieurs interprétations des modèles, généralement tous sont basés sur les graphiques historiques d'une devise. Aussi longtemps qu'on réalise les diverses différences de l'analyse fondamentale et technique, tous les deux peuvent être employés pour mettre en parallèle l’un ou l’autre, quoique toutes les deux puissent présenter différentes conclusions.

C'est quoi ForEx ou marché des changes?

Le marché des changes, ou bien « Forex » ou abrégé « FX »: c'est le plus grand marché financier
du monde, son volume journalier de transactions dépasse les 1’000 Milliards
de USDollar, c'est l'équivalent de 30 fois le volume total de toutes les bourses d'Amérique.
 http://webomoney.com/wp-content/uploads/2011/01/forex-300x225.jpg
Contrairement aux autres marchés financiers, le Marché des changes n’a pas de centre physique 
ou de place centralisée. C’est un marché de gré à gré où les acheteurs et les vendeurs (banques,
corporations, investisseurs privés, etc..) font du business. Un marché ouvert 24h/24h,
ouvrant chaque jour à Sydney et tournant autour du globe. Chaque journée de trading
commence d’abord à Tokyo, puis Londres et enfin New York. Contrairement aux autres
marchés financiers, les investisseurs peuvent réagir en tout temps et rapidement aux
fluctuations du marché causées par des nouvelles économiques, sociales ou politiques à
n’importe quelle heure, de jour comme de nuit. Le grand nombre et la diversité des
intervenants rendent difficile à chaque gouvernement de contrôler la direction du marché.
La très grande liquidité et l’activité globale en continu 24h/24h font du Forex un marché
idéal pour les investisseurs actifs.
Traditionnellement, le marché des changes était seulement accessible aux grands
investisseurs qui traitaient les monnaies à des fins commerciales et institutionnelles au
travers des banques. Maintenant, les plateformes de trading, comme RTFXTM Pro,
permettent aux plus petits instituts financiers et aux investisseurs privés d’accéder au
même niveau de liquidité que les grandes banques internationales, en offrant l’accès au
marché interbancaire.
Dans le marché des changes, les monnaies sont toujours côtés par paires. Toutes les
transactions résultent simultanément de l’achat d’une monnaie et de la vente de l’autre.
L’objectif de traiter sur le marché des changes est de changer une monnaie contre une
autre en espérant que le marché bouge de façon à ce que la monnaie que vous avez
achetée prenne de la valeur par rapport à celle que vous avez vendue. Si vous avez acheté
une monnaie et que le prix s’apprécie en valeur, vous devez revendre la monnaie pour
prendre votre profit. Une position ouverte est une paire de monnaie que vous avez soit
achetée/vendu et que vous n’avez pas revendu/racheté le montant exact pour
effectivement fermer la position.
La première devise de la paire de monnaie est désignée sous le nom de « devise de base »
et la deuxième devise est la devise cotée ou comptée. Ceci signifie que les prix sont
exprimés comme 1 unité de la première devise cotée par l'autre devise cotée dans la paire
de monnaie.
Comme tous les produits financiers, les cotations du marché des changes incluent une
"demande" et une "offre". La demande est le prix auquel un market maker (Realtime
Forex) est disposé à acheter (où les clients peuvent vendre) la devise de base en échange
de la devise cotée. L’offre est le prix auquel un market maker (Realtime Forex) vendra
(où les clients peuvent acheter) la devise de base en échange de la devise cotée. La
différence entre l'offre et la demande est désignée sous le nom de spread.

Quelques règles d’or pour bien se lancer dans le Forex

• Suivre une formation au forex complète .

• Maitriser le (lexique du forex), tous les termes relatifs au forex .

• commencer par un compte démo, et traiter dans les mêmes conditions du marché.

• Choisir où se tenir informé.

• Savoir où et à qui poser des questions

• Demander de l’aide et comprendre de ses erreurs.

• Ne jamais craindre le marché.

• Choisir un broker respectable, que vous pouvez contacter facilement par email, téléphone, chat ou Fax.


Pour bien se lancer dans le Forex, n'hésitez pas à lire les articles nécessaires

Forex : La psychisme d’un bon trader

Tout le monde sait que nous sommes tous très différent l’un des autres, ainsi nos émotions nous poussent à réagir différemment face à nos affaires.

Dans le marché du Forex, chacune de ses émotions influence nos choix de trading.


Une prise de décision fait monter un stress car c'est en quelque sorte une plongé dans l'inconnu. Ma décision est-elle meilleur ? Le trade ira-t-il dans le sens que je veut ? Tout un sac de questions nous embête.

Dans le cas ou le trade suit notre réflexion, notre cerveau se détend mais la encore la question qui vient rapidement et de savoir quand couper la pose tout fier de nos gains. La plupart des gens ont l'habitude de couper rapidement leur pose de peur de voir le trade repartir dans l'autre sens ou alors d'assurer un minimum. Ils ont gagné, mais peu...Mais, ils sont contents.

D'autres au contraire laisse la pose vivre, dés fois trop vivre, trop confiant et coupe perdant sans avoir sécurisé leur pose.
Chacun vous dira que la décision de vendre et aussi difficile que la décision d'acheter.

Quand le trade ne suit pas la réflexion et qu'il va dans le sens contraire alors là, notre cerveau se met en ébullition et si tout d'un coup le cours s'accélère dans la perte, nos émotions risquent de nous jouer un sacré tour.

La première erreur et de ne pas avoir mis un stop loss ou alors de le déplacer à la baisse en se disant "ça va remonter" "ça va redescendre" et donc pourquoi perdre si je dois sortir gagnant ?

La deuxième erreur serait de dire, je vais moyenner ma pause. Bien souvent une première erreur entraîne une seconde et après une catastrophe.

Bien sûr, cela peut marcher mais si cela ne marche pas ?

Alors le trader reste seul en contemplant la perte qui s'aggrave et qui s'aggrave. Le trader est tétanisé. Il sait qu'il faut couper mais quand il voit le montant de la perte, il se dit "non", et toujours cet espoir d'un changement du sens du cour qui ne vient pas.

Dans ces moments là, on ne sait plus quoi faire et on guette ses indicateurs dans l'espoir d'une inversion de tendance. Mais rien ne se passe.
Alors par dépit, on coupe et généralement on coupe au plus bas et la première des choses que l'on ressent c'est un grand soulagement malgré la perte. On a arrêté de se torturer. Mais ensuite et comme par magie on constate que le cours revient dans le bon sens et là, on se sent vraiment mal. Certains iront même jusqu'à reprendre une pose se disant cette fois je suis dans le bon sens....Pas sur........

Généralement après une grosse perte le trader est défait et si le prochain trade se passe mal alors survient la peur allant jusqu'à engendrer l'impossibilité de prendre une décision de trade et dans les cas de grosse perte ou de perte total du capital, la dépression.

Un autre facteur de perte et la cupidité.

La cupidité est le fait de trader avec un fort levier. C'est encore pire que de ne pas mettre de stop loss car chaque trade devient un trade kamikaze ou le trader risque de perdre sa chemise. Il est vrais que trader pour gagner 10 euros, si on a un capital de 1000 euros c'est bien peu lorsqu'un broker vous offre la possibilité de multiplier avec un levier votre capital par 100 et donc normalement votre gain pas 100.
Malheureusement, là encore, une mauvaise décision et tout peut aller très vite et votre capital s'évanouir aussi vite.

De ce fait et si vous voulez survivre dans le monde du forex, prenez un levier qui vous corresponde. Mettez un stop loss vous permettant de perdre un minimum sans vous mettre en danger. Apprenez à dominer vos émotions, à respirer et à patienter. Évitez, l'intuition, l'impression, l'ennui, la cupidité, le manque de réalisme qui entraîne l'échec. Enfin, seul un bon indicateur pris au bon moment pourra vous permettre de gagner
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